Adrien, 19 ans, et le besoin d'aprehender ce qui le traverse Adrien n’avait jamais proverbial formellement mettre des données sur ce qu’il ressentait. Depuis très, il avait l’impression de ressentir le sphère autrement. Il ne s’agissait pas de domaines extraordinaires, pas de prédictions ou de guidances. Juste une vitesse réguliere. Les ambiances dans une argent, les chambardements de accentuation dans une conversation, les émotions des contraires, même lorsqu’elles n’étaient pas exprimées… tout cela le traversait. Et quelquefois, ça le submergeait. À 19 ans, il venait à l'instant d’emménager dans une résidence étudiante pour passer par des études de design. Il s’était nettement senti plus tangent de la conception que du réel. Mais pendant la perceptions, quelque chose s’était déréglé. Il avait mauvaises à réfléchir. Il se réveillait fatigué. Il ressentait des vagues d’angoisse sans explication. Parfois, il se sentait correctement, puis en deux ou trois secondes, une lourdeur s’abattait sur lui. Et il ne savait pas si c’était à bien lui ou à bien une personne d’autre. Il n’en parlait pas autour de lui. Même ses amis les plus proches ne connaissaient pas cette aspect. Il avait phobie de quitter pour une personne d’instable ou d’un miette perché. Il avait bien cherché des clips sur la “haute sensibilité”, les empathes, les cv intuitifs… mais rien ne l’aidait véritablement à réaliser le tri dans ce qu’il vivait. Ce qu’il cherchait, ce n’était pas une mobile rationnelle, ni un diagnostic. C’était un sérac. Un regard extérieur qui pourrait confirmer ce qu’il ressentait, sans le médicaliser, sans le réduire. Un soir, isolé dans sa chambre, Adrien tomba sur un article de site internet qui parlait de voyance par SMS. Pas une voyance de foire, pas de prophéties abracadabrantes. Plutôt une guidance respectable, immédiate, créé, où l’on pouvait tendre une interrogation et accueillir une réponse personnelle, sans avoir besoin de organiser à voix très haute. Cela lui parla immédiatement. Il ne voulait pas téléphoner. Il ne désirait pas prédilectionner sa privée voix hésitante. Il souhaitait sérieuse tergiverser. Il chercha un site qui proposait ce genre de consultation sérieuse, sans engagement. Il tomba sur voyance-olivier. com. Ce qui le rassura, c’était la légèreté. Il n’y avait rien à bien élaborer, pas de compte, pas de formulaire compliqué. Juste un numéro desquels envoyer un SMS. Il hésita, relut plusieurs fois ce qu’il désirait dire. Puis il commença. “Bonsoir. Je m’appelle Adrien. J’ai 19 ans. Je ressens la plupart du temps des émotions grandement puissantes sans savoir sujet. Est-ce que je capte ce qui ne m’appartient pas ? Ou est-ce que voyance par sms avec voyance olivier et son équipe de voyants je me trouve tout de suite instable ? ” Il appuya sur “envoyer”. Puis il posa son téléphone, nerveux. Il n’attendait pas une méthode énorme. Juste une phrase tout de suite. Une confirmation. La réponse arriva une quarantaine de minutes ultérieurement. Elle était signée Olivier. Le intonation était souple, direct, sans fioriture. Olivier lui disait qu’il percevait chez lui une qualité énergétique élevée, non pathologique, mais non canalisée. Il parlait d’une faculté simple à bien apprécier les qualités gustatives de les vibrations émotionnelles d’un environnement, et d’un manque d’ancrage qui, à certaines personnes phases, le faisait “absorber” ce qui ne lui appartenait pas. Il ajoutait : “Tu n’as aucun besoin de te protéger de toi. Tu as fonctionnement d’apprendre à bien monter une limite entre toi-même et le sphère. ” Adrien sentit une obscur d'oubli de nos problèmes. Ce n’était pas un délire. Ce n’était pas une faiblesse. C’était une possibilité qu’il devait apprendre à vivre autrement. Il répondit simplement : “Est-ce que vous songez que je peux diminuer ça ? Ou je vais vivement vivre en surcharge ? ” Olivier répondit de manière aisée : “Tu peux canaliser. En commençant par romancer ce que tu ressens journaliers, et en assimilant ce qui t’appartient indéniablement. Le résiduel, tu peux le diffuser repartir. ” Adrien ferma les yeux. Il n’avait jamais offert cette catégorie de réponse. Pas de ordonnance, pas de pathologisation. Juste une opinion claire, de l'homme, immédiate. Cette voyance par SMS, il ne s’y attendait pas. Il ne savait même pas que c’était à suivre. Mais elle lui avait permis de franchir une opération extrême. De valider ce qu’il portait. Et de démarrer à l’habiter en empruntant une autre voie. Depuis, il a entrepris un journal de emotions. Il n’a plus déshonneur d’être “différent”. Et s’il suspicion à bien récent, il sait qu’il peut transporter un message. Et que, de l’autre côté, une voix saura répondre, sans jamais le retrancher.